[Chronique Littéraire] Shâhra – T1 : Les Masques d’Azr’Khila, Charlotte Bousquet

   Envie d’exotisme dans votre fantasy ? Je vous propose de découvrir le tome 1 de Shâhra : Les Masques d’Azr’Khila, de Charlotte Bousquet (Mnémos).

Séparateur 4

 

FICHE TECHNIQUE

 

  • Titre : Shâhra – T1 : Les Masques d’Azr’Khilac1-shacc82hra-730x1024
  • Auteur/Autrice : Charlotte Bousquet
  • Illustrateur/Illustratrice : Mélanie Delon
  • Édition : Mnémos
  • Collection : /
  • Genre : Fantasy orientale
  • Public : Tout Public
  • Cycle : diptyque
  • Pages : 336
  • Parution : 8 Juin 2018
  • Langue : Français
  • Format : Numérique – Broché
  • Prix :  8,99 euros – 20 euros
  • ISBN : 978-2-35408-651-0
  • Lien : Mnémos : Shâhra

Résumé : Djiane, héritière d’un art mortel et secret, est donnée contre son gré à un seigneur tyrannique. Arkhane, apprentie chamane, est privée en une nuit de son identité et de ses dons. Abandonnée dans un reg aride, elle ne doit sa survie qu’à la protection d’un étrange vautour. Seule rescapée de l’attaque d’une gigantesque créature des sables, Tiyyi, une jeune esclave tente d’échapper à la fournaise de Tessûa. Recueillie par des nomades, elle découvre peu à peu ses pouvoirs.
Et dans l’ombre, un immortel en quête d’humanité, (un djinn) prisonnier d’un corps vieillissant, prêt à tout pour devenir un dieu…

Dans ce monde désertique, peuplé de mages et de pillards, de conteurs, de guerriers et de djinns, Charlotte Bousquet nous conte le destin passionnant et mouvementé de trois femmes marquées du sceau d’Azr’Khila, déesse de la vie et de la mort.

Séparateur 4

 

MON AVIS

Bulle d'Eleyna Logo 2

Lu dans le cadre du Challenge Littérature de l’Imaginaire.

Lu dans le cadre du Printemps de l’Imaginaire Francophone.

 

Couverture et Accroche

   La couverture de Mélanie Delon est vraiment sublime, on perçoit au premier coup d’œil l’influence orientale dans la parure de la femme. Une femme donc, comme le féminisme semble être une thématique majeure du roman, puisqu’il sera question de protagonistes féminins, mais aussi bien plus souvent de déesses et d’héroïnes de légendes que leurs homologues masculins. La dualité que l’on perçoit, entrecoupé d’une ligne rouge, fait bien plus sens que le reste de la parure, somptueuse, mais qui donne un côté plus esthétique que symbolique. Une chose est sûre, elle attire le regard et sera probablement responsable de nombreux achats. ^^

    Pour rester sur l’aspect illustration, il y a un carte à l’intérieur, qui aide à se localiser lors des différents changements de sous-intrigues. Du moins, qui se veut une aide, mais l’écriture choisie, un peu orientale, est assez difficile à lire, et il faut vraiment avoir de bons yeux, car c’est écrit assez petit. Un conseil donc, si vous aimez étudier les cartes, faites-le sous une bonne lumière et prenez une loupe. 😉

   Le résumé, s’il m’a intrigué, m’a semblé après lecture oublier des détails importants sur les protagonistes. Contrairement à ce qui est dit, elles ne sont pas trois, mais quatre et si la dernière n’est pas rattachée à Azr’Khila (encore que…), elle a toute son importance. De plus l’une d’elles n’est pas simplement « elle » (je vous expliquerai dans la partie « personnages »), or quand on arrive à sa partie, on peut facilement sortir de l’histoire. Enfin, la phrase sur l’immortel est fausse lorsqu’on retire « un djinn » (que j’ai mis entre parenthèse, car ce terme ne se trouve pas sur la couverture, juste sur le site de Mnémos) parce qu’il existe en réalité deux immortels dans l’histoire qui n’ont pas du tout la même quête (relisez la phrase, vous verrez bien que ça ne colle pas).

 

Prose et Structure

   Je me souviens m’être demandée si je devais lire cet ouvrage après la chronique d’Ombrebones, l’année dernière. Finalement, l’ayant trouvé à la médiathèque, je me suis dit autant me faire ma propre idée. Et autant dire tout de suite, mon ressenti se rapproche de celui de Manon. En effet, j’ai eu des difficultés avec la prose, j’ai lutté contre elle pratiquement tout le tome. Car si je comprends les effets stylistiques et les choix de narration, je n’y ai pas adhéré. L’autrice choisit de conter son histoire de multiples façons, et sur le principe, j’apprécie. Outre les lettres, les légendes et les poèmes, on se retrouve toutefois avec deux temps de narration, selon le personnage que l’on suit. Les trois protagonistes citées dans le résumé ont une narration au passé, la dernière, Aya Sin, au présent. Or le passage de l’un à l’autre ne vient pas naturellement, je continuais à lire au passé ou au présent alors que la narration s’était inversée. Peut-être qu’un changement de typographie pour aider le lecteur à anticiper ce changement n’aurait pas été de trop. Toutefois, si vous avez un cerveau plus malléable que le mien, j’imagine que cela ne vous gênera pas.

   Concernant la plume de l’autrice, elle est simple et efficace. Le problème, c’est qu’elle se pose dans un contexte oriental, où la moitié des mots nécessitent d’avoir un minimum de connaissances sur le sujet. Or s’il y a un glossaire, il est assez vide et j’ai été parfois agacée de m’y rendre pour voir que le mot cherché ne s’y trouvais pas (ce sont des mots qui existent, mais je ne pense pas être la seule à manquer de culture sur les regs et les fellahs). Pour votre propre confort de lecture, ayez donc un minimum de vocabulaire en rapport avec les zones désertiques et les populations qui y vivent.

   Le récit n’est pas vraiment découpé en chapitre mais en trois grosses parties. Chacune d’elles commence par des lettres assez amères, puis on se retrouve avec des chapitres non numérotés qui débutent par un poème ou une légende avant de suivre l’une des quatre protagonistes. Le principe est plutôt intéressant, même si je dois dire que je ne suis pas la plus sensible à la poésie. Si j’apprécie de pouvoir m’immerger dans la culture orientale très orale et représentée ici par des dyns, de courts poèmes improvisés qui parlent de l’individu et de son intériorité, j’ai trouvé cela un peu trop répétitif. Toutefois, je suis certaine que d’autres sauront y concevoir une forme de beauté et d’émerveillement.

 

Personnages et Narrateurs

    Je commencerai par Djiane, la protagoniste qui m’a le moins parlé. Fille unique jusqu’à peu d’un petit seigneur, elle a été formée malgré son sexe à l’art mortel de sa lignée, avant que son père ne se remarie et que sa seconde épouse lui donne un fils. Dès lors, Djiane n’est plus qu’un sujet d’agacement pour sa famille, car elle est trop libre, trop fière, trop différente de ce que l’on attend d’une femme de son rang. Malheureusement, son aventure m’a laissée assez indifférente malgré la dramaturgie que l’on y insuffle, la faute à un processus trop commun de perte qui mène à la déchéance et à une forme d’introspection qui ne m’a pas émue. De plus, son art mortel n’est dans ce tome qu’une sorte de macguffin, une excuse à ses déboires plus qu’un réel outil de combat dont ressortirait des spécificités uniques. Dommage, car au final, on ne comprend pas vraiment toute cette lutte autour de ce fameux secret. Un peu déçue par ce personnage donc, mais je pense que sa volonté de ne pas plier face à son futur époux la fera paraître comme une femme de caractère aux yeux de nombreux lecteurs.

   Second personnage mentionné dans le résumé, Arkhane. Arkhane qui n’est donc pas née femme, mais à la fois homme et femme. Autant dire qu’elle avait un énorme potentiel, tant il est rare de voir une personne intersexuée. Problème, on la dit androgyne (dont l’apparence est indéfinie) dans le texte, or elle est bien intersexuée (avec les deux sexes) (je sais que l’autrice s’explique sur le sujet, mais je ne suis pas d’accord avec elle car elle parle d’anachronisme, mais s’adresse à des lecteurs d’aujourd’hui. Le terme androgyne ne me semble pas adapté car trop connoté pour un lecteur lambda, elle pouvait inventer un mot si hermaphrodite/intersexué ne lui convenait pas… ou alors bien expliquer dès le début le sens du mot). Ce qui a été gênant car à la lecture, je me suis posée la question durant plusieurs pages si on ne parlait pas d’une femme dans un corps d’homme aux traits indéfinis. De plus, l’autrice alterne « il » et « elle » de façon assez artificielle de mon point de vue (le « il », personnalité masculine, étant rattaché uniquement à l’expérience amoureuse), avant de considérer, par un acte qui la force à se déterminer, que ce sera uniquement « elle ». Un choix qui aurait pu là encore être intéressant, mais Arkhane accepte trop facilement de devenir une femme, si bien qu’on peut se demander la réelle utilité du discours sur son intersexualité. Le reste de son évolution est assez linéaire, mais reste tout de même intéressant.

   Vient ensuite Tiyyi, une jeune fille nyambe douce et intelligente, qui n’a jamais été esclave. Elle a vu sa famille tuée par des esclavagistes et a failli finir sur le marché aux esclavages, mais concrètement, elle n’a pas eu le temps de devenir esclave (prisonnière, oui). Je précise car, à lire le résumé, j’imagine une jeune fille qui a vécue toute sa vie en esclave, alors que pas du tout. Elle a grandi au sein d’une tribu nomade où son père était le guide. Elle semble avoir hérité de sa capacité à s’orienter dans le désert, à toujours savoir où trouver de l’eau et des vivres, à résister à la soif et à la chaleur. Très attachante, elle révèle rapidement de nombreux talents dont elle n’a pas conscience, mais que beaucoup autour d’elle perçoivent et aimeraient comprendre. Elle est du genre assez insouciante, à faire confiance au premier venu, et si pour l’instant elle a eu de la chance, j’espère que ce ne sera pas toujours le cas.

   Grande absente du résumé Aya Sin, la protagoniste la plus âgée avec sa trentaine (#coupdevieux) est aussi une sibylle grande consommatrice de drogue qui se voit lentement glisser sur la pente funeste de sa dépendance. Par sa capacité à voir le passé et l’avenir, elle est un élément important de l’intrigue, car outre servir à relier les autres personnages qui ne se connaissent et ne se côtoient pas, elle nous indique aussi plus clairement le but de cette histoire. Trois femmes à réunir pour contrer un mal (mâle aussi, ça fonctionne ^^) inquiétant, Aya Sin voit et choisit les chemins qui lui conviennent, force le destin pour que tous arrivent là où elle le désire. Elle, ou bien quelqu’un d’autre ? Aya Sin est l’un des personnages les plus intéressants à suivre à mon sens, probablement parce qu’elle côtoie l’antagoniste désigné, mais aussi toute une troupe de kenzhi, des magiciens dotés de multiples talents. Dommage toutefois que sa propre épreuve, son sevrage, semble si aisée à surmonter.

   Outre les quatre protagonistes, vous retrouverez de très nombreux personnages de plus ou moins grande importance, à commencer par Malik, le fameux immortel dans un corps humain qui cherche à devenir une divinité, et à l’inverse Kele, l’immortel qui rêve de devenir humain. Evidemment, en 300 pages, on sait finalement très peu sur les personnages secondaires qui sont à peine esquissés, même si les lettres de Malik donne une certaine idée sur sa personnalité, et le rendent un peu moins archétypal qu’au travers de ses seules conversations avec Aya Sin.

 

Univers et Atmosphère

     Shâhra est un continent (ou une immense île) plutôt aride et désertique qui s’inspire fortement de la culture et des mythes orientaux. Ainsi, on retrouve une multitude de références, que ce soit dans les noms d’origines arabes ou perses, mais aussi dans le vocabulaire employé (ce fameux vocabulaire où tu t’y perds si tu ne t’y connais pas un minimum), ou dans les coutumes dépeintes. Shâhra se découpe en plusieurs pays que l’on identifie notamment par le paysage et la population locale. Le pays teshite, où vit Djiane, est plutôt marqué par un désert de sable avec des populations à la peau dorée et à la chevelure noire. Le pays nyambe, d’où vient Tiyyi, est composé de zones rocheuses avec une population noire. Le pays ezeraq rassemble des palmeraies et se distingue par un population à la chevelure plus claire, comme Arkhane qui a les cheveux blonds-roux. Tous ces pays ont de nombreux points en commun, mais aussi de petites spécificités qui donnent toute la profondeur au décor oriental, avec la présence de souks, l’importance du thé et du troc, les caravanes marchandes et la difficulté de traverser les zones arides, les tentes en laine et la nécessité de porter un chèche, le hammam et le rituel du savon… Puis il y a tout un bestiaire plus ou moins oriental, avec des griffons, des loups-papillons, des vers des sables ou des dragons des roches s’apparentant aux basilics. Oui vraiment, vous avez de quoi vous émerveiller.

   Associée à toute cette richesse déjà compliquée à apprécier en seulement 300 pages, on retrouve la religion, toutefois unique dans tout Shâhra. Religion polythéiste, il y est fait mention de divinités tel que Azr’Khila la déesse de la vie et de la mort, Azara la déesse des illusions, Shäm le dieu des vents, ou encore Lassâ la déesse de la pluie. La majorité des divinités influentes semblent féminines (alors que le seul dieu décrit comme mauvais, Kerfu, est masculin), ce qui rejoint la thématique féministe du roman. Outre ces dieux dont on sait finalement peu de choses, on retrouve d’autres entités surnaturelles qui frôlent la divinité. On évoque partiellement les Efrits pour se concentrer sur les Djinns, des immortels liées aux éléments et dotés d’immenses pouvoirs. Contrairement aux divinités, ceux-ci sont réellement présents parmi les humains et peuvent se lier à eux. Enfin, il existe aussi des esprits élémentaires, des rûhi capables d’exaucer les vœux.

    Tous ce beau monde divin ou surnaturel est à l’origine des dons que possèdent certains hommes. Selon que l’on soit béni d’un dieu, descendant d’un djinn ou heureux propriétaire d’un talisman qui renferme un rûh, la nature de la magie varie, si bien qu’elle peut paraître assez complexe aux yeux du lecteur. Elle est toutefois sans réelle limite ou contrainte pour le bénéficiaire (excepté une certaine fatigue), si bien que j’apprécie la subtilité de l’autrice à ne pas en faire des armes de destructions massives. Ici, la magie sert à soigner, à accompagner les morts, à enchanter les spectateurs ou à asservir quelques marionnettes. Pas de seigneur tout puissant, pas de combat à base d’éclairs et de boules de feu (soit dit en passant, l’usage du feu magique est très beau et symbolique), juste des gens qui exploitent leurs dons pour trouver de l’eau, s’orienter dans un désert ou annihiler les ondes négatives.

 

Intrigues et Thématiques

   Djiane, une jeune héritière d’un art mortel, voit sa vie bouleversée lorsqu’on lui impose un futur époux. Arkhane, enfant sacré de par son intersexualité, s’apprête à devenir chamane malgré ses déboires amoureux. Tiyyi, qui a vu sa famille mourir des mains d’esclavagistes, échappe de peu à l’attaque de vers des sables. Aya Sin, sibylle contrainte de servir Malik, un redoutable sorcier qui rêve de devenir un dieu, perçoit le destin des trois jeunes femmes et leur lien évident avec son bourreau. 

    C’est un récit lent, peu actif et qui se consacre beaucoup à l’introspection des différents personnages. Si j’apprécie les intrigues qui prennent leur temps, j’ai eu besoin d’arriver à la seconde partie, soit la moitié du tome, pour véritablement entrer dans l’histoire. Avant cela, les points de vue se succèdent sans vraiment dessiner les contours de l’intrigue autrement que par les interventions d’Aya Sin qui pointe du doigt Malik comme un danger en puissance. Or, les mésaventures de chacune des protagonistes n’étant individuellement guère originales avec une évolution convenue et fataliste (pas de véritable lutte contre ce qui leur tombe dessus, on suit le courant qui porte tout le monde en direction du nord), on peut ressentir un manque d’intérêt pour l’histoire elle-même.

   Personnellement, je me suis raccrochée à l’univers, aux légendes très nombreuses et qui sont autant de nouvelles déjà publiées dans différents recueils. Pour tout dire, j’ai eu l’impression à différents moments que le roman n’était qu’une excuse pour lier tous ces textes, les doter d’une base commune et les rappeler à la mémoire des lecteurs. Il faut dire aussi que le texte se prête à cette interprétation, comme il ne cesse de comparer les protagonistes aux héroïnes des anciens temps (donc des fameuses nouvelles).

   Héroïnes oui, car comme vous l’aurez compris, la thématique principale est féministe. Le récit se dote à tous les niveaux de figures féminines d’ampleur, là où les hommes seront souvent perçus, si ce n’est comme d’éternels antagonistes ou bourreaux, du moins comme des personnages plus faibles et imparfaits. L’univers dépeint est ouvertement patriarcal, et nos quatre protagonistes y subissent les pires sévices et désillusions pour autant de raisons qu’il existe de sorte d’hommes : amour trahi, possession et viol, esclavagisme, domination mentale… Peut-être s’en remettent-elles un peu trop rapidement, si bien qu’il peut être difficile de comprendre la réelle ampleur de leurs épreuves et de s’attacher à elles. D’autant qu’au final, leur parcours d’errance est fort similaire, ce qui amoindrit l’intérêt de ces 300 pages.

   D’autres thématiques sont abordées, de façon plus superficielle, comme l’intersexualité d’Arkhane, l’esclavagisme omniprésent mais finalement assez invisible, la manipulation des désirs profonds de chaque individu, la dépendance aux drogues, le questionnement sur la nature humaine et divine… On sent qu’il y a beaucoup à exprimer, comme l’univers, mais le choix de narration très (trop) centrée sur trois histoires à l’évolution assez semblable, limite l’exploration d’autres idées. A voir si cela évolue dans le second tome, puisqu’en toute logique, les protagonistes devraient enfin se rejoindre.

 

Conclusion

   Shâhra : Les Masques d’Azr’Khila est un premier tome qui me semblait très prometteur par le choix d’ancrer son récit dans un univers oriental. Malgré les innombrables références aux mythes et aux coutumes arabes, malgré la sensation dépaysante d’évoluer entre les dunes et les palmeraies, le seul exotisme n’a pas suffit à me faire totalement apprécier ma lecture. La faute à un choix de narration qui ne correspond pas à mes goûts personnels et à une intrigue déclinée en trois versions assez similaires et plutôt convenues. En espérant que le prochain tome réunira rapidement les protagonistes pour donner plus de marge au développement d’autres thématiques.

 

Envie de découvrir le charme oriental de Shâhra ? 🙂

Séparateur 4

UN APERÇU D’AILLEURS SUR

Shâhra T1 : Les Masques d’Azr-Khila ?

blog-2151307__340

N’hésitez pas à faire un tour sur les autres blogs de critiques littéraires pour vous faire un meilleur avis sur le sujet. 😉

Séparateur 4

haut de page

19 réflexions sur “[Chronique Littéraire] Shâhra – T1 : Les Masques d’Azr’Khila, Charlotte Bousquet

    • Eleyna dit :

      C’est intriguant, oui… et en même temps, il se trouve que de plus en plus d’ouvrages s’orientent vers la fantasy orientale, donc possible que sur ce point, d’autres livres te conviennent mieux. Mais j’imagine que tu penses aussi à Arkhane, là j’avoue que ça sort vraiment de l’ordinaire. 😉

      Aimé par 1 personne

    • Eleyna dit :

      De rien . 😉
      Hélas, on ne peut pas tout aimer. Enfin, l’univers est heureusement plutôt intéressant (d’ailleurs, peut-être que le format nouvelle convient mieux à sa découverte, puisque c’est de là que le roman vient). 🙂

      Aimé par 1 personne

  1. Boudicca dit :

    Comme toi, il y a un certain nombre d’éléments qui m’ont empêchée de m’immerger complètement (je te rejoins notamment parfaitement en ce qui concerne les personnages). Je ne vais sûrement pas lire la suite mais je serai curieuse d’avoir ton avis si tu décides de te lancer dans le tome 2 🙂

    Aimé par 2 personnes

Laisser un commentaire